#13 : Anne, journaliste radio

J’ai d’abord rencontré la professionnelle: journaliste radio travaillant pour France Inter sur l’émission culte « Là-bas si j’y suis ». J’étais à vrai dire très impressionnée.

Puis j’ai rencontré la femme. Celle qui a d’abord et avant tout cherché à vivre, à rencontrer, à s’ouvrir au monde sans jugement.

Et qui grâce à son métier, nous a permis de porter un regard nouveau sur ceux qui nous entourent… avec en fil rouge, un regard bienveillant, curieux et souvent amusé.

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Cette semaine, je rencontre Anne qui exerce le fabuleux métier de journaliste Radio📻.Je peux vous dire que j’en ai profité pour apprendre tout un tas de choses très utiles pour mon podcast 👍.  

Anne a démarré sa vie d’adulte en se disant qu’elle ne souhaitait surtout pas travailler. 🎒🗺A 20 ans, elle fait son baluchon et part faire le tour du monde. Après de nombreux périples, elle finit par croiser la route du monde de la radio et du journalisme et y plonge pour ne jamais en ressortir.  

 Elle me dit qu’avec ce métier, elle n’a toujours pas l’impression de travailler, mais tout simplement de vivre💖. De vivre la vie et de la raconter aux autres. Mais ce n’est qu’avec des années de recul, qu’elle a réalisé que ce métier permettait aussi d’être utile à son niveau. 

Si vous êtes auditeurs de France Inter, vous aurez sûrement déjà entendu sa voix puisqu’elle a collaboré de nombreuses années avec Daniel Mermet sur l’émission radio culte « là-bas si j’y suis ». On la surnommait alors « la sexploratrice » 🤭. Je vous laisse découvrir pourquoi 🤔…

Pendant ses reportages, elle n’a reculé devant aucun préjugé et obstacles pour faire son travail de journaliste:
👉elle a talqué les fesses d’un homme enfant
👉elle est allée à la rencontre d’un fabriquant de poupées gonflables
👉 elle est partie interroger le forgeron de Satan (je vous laisse imaginer quels articles il fabriquait)
Et bien d’autres personnages hauts en couleurs ! Mais elle dit que pendant les reportages, « elle ne juge pas. C’est la journaliste qui travaille, pas la femme ».

👉Journaliste professionnelle jusqu’au bout des talons aiguilles (qui ont pu lui être utile pour certains reportages 😂…. vous comprendrez en écoutant l’épisode )
👉Bohême aventurière sans frontière, « esclave affranchie » comme elle se qualifie elle-même
👉Et profondément amoureuse de l’être humain dans tout ce qui fait sa diversité.

Elle a conclu son interview en citant Audiard « Bienheureux les fêlés, car ils laisseront passer la lumière ».

👍 J’ai trouvé que c’était le parfait résumé de sa vision du métier qu’elle exerce sans jugement, avec une seule satisfaction, celle de parvenir à faire craquer le vernis et ainsi aider les personnes à accoucher d’elles-mêmes.

✨✨✨✨Magnifique comme mission, vous ne trouvez pas ?

🙏Anne merci 1000 fois de nous avoir ouvert les coulisses de ton métier 🤫.


🎧Je vous souhaite une super écoute! 🎧

❤️#INSTANT PROMO# ❤️ Marketing girl oblige 😜😀

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Pour aller + loin

Je vous invite si ce n’est pas déjà fait à découvrir l’épisode de Frédéric, scaphandrier et chercheur d’épaves qui a permis notre rencontre avec Anne. Ils partagent tous 2, la même passion de la plongée sous-marine.

Et bien sûr, si vous voulez réécouter des épisodes de « là bas si j’y suis » notamment avec Anne en sexploratrice, c’est par ici

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